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cloé chez les indiens
21 avril 2008

photos Calcutta

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Calcutta avec son immense pont construit par les anglais enjambant le Gange, et les rives de ce fleuve sacré ( encore plus sale qu'a Varanasi) aussi lieux de toilette, de lessive, de cérémonies religieuses et de jeux.

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Les rues de Calcutta, bouillonnantes de vie, à la fois modernes avec un trafic organisé, de grandes avenues bordées d'arbres, ses haut bâtiments orgueilleux hérités des anglais et ses trottoirs où sont installés les barbiers et où vivent, mangent, dorment se lavent des milliers de familles sans toit.
Sur la photo de droite on peut voir la déesse Kali, qui a un temple a elle toute seule a Calcutta. Cette déesse sanguinaire ( elle est souvent représentée avec un collier fait de tête de morts et tenant une tête humaine coupée ruisselante de sang par les cheveux) La visite de son temple ( les photos y sont interdites) est à l'image de la violence de sa déesse, je me suis faite bousculée, écrasée par une foule avide, fanatique, excitée portant des colliers d'hibiscus comme offrande dans le meilleur des cas, ou des chèvres sacrifiées sur un autel répugnant, pour apaiser la colère de la déesse. On était loin de la quiétude et de la paix des temples bouddhistes.

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A la tombée de la nuit, la ville se fait de plus en plus contrastée, les opposés se jouxtent comme ce manège pour enfant, si désuet au bord de de la route, où le trafic automobile est digne des plus grandes métropoles occidentales, ou ce stand d'en-cas traditionnels bons marché derrière lequel se dressent les hauts buildings du centre des affaires.

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Commentaires
T
Loin du blog, voici le nouveau talent de Cloé. Guide touristique: comment diable fait tu pour nous transporter avec autant de facilité. Tes photos, tes commentaires,on en trouve plein sur le net,et pourtant avec toi j'ai vraiment l'impression d'y être. Il ne nous manque que le bruit et les odeurs pour que tout soit parfait. Comment le dit Pierre, c'est surement ton humanité qui fait la différence. Alors hip, hip, hip hourra!!!<br /> Bisous salés. François
cloé chez les indiens
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